DE LA FIN DES MÉGAPOLES À LA CITÉ DES ARBRES

On connaissait le photographe des années 50, le designer du lit PRISUNIC et du siège CULBUTO, l’architecte de la fameuse Maison de l’UTOPIE  à Gif sur Yvette et des villas en pierres de l’ile de SKOPELOS, on découvre maintenant grâce à son essai le travail d’un penseur ayant consacré de nombreuses années à réfléchir à la vie en commun dans la cité.

Sortie en librairie le 8 septembre

Conférence à l’Académie du Climat le 26 septembre 2022

Editions Parenthèses

Préface Gilles Perraudin

Fidèle aux valeurs humanistes et à l’empathie pour ceux qui souffrent, Marc Held  n’a cessé de vouloir s’engager pour un monde meilleur comme en témoignent ses émouvants et magnifiques portraits en noir et blanc des enfants de banlieues pauvres des années 50, ses photos de la société paysanne corrézienne de l’après-guerre, là où des fermiers admirables les avaient sauvés, sa mère et lui, et où il fut, dans le maquis des Francs Tireurs et Partisans, à l’âge 11 ans en tant qu’agent de liaison, l’un des plus jeunes résistants de France.

De nombreux textes rédigés et parfois publiés dès le début des années 60 confirment à quel point l’architecte, parallèlement à sa pratique professionnelle, n’a cessé de remettre en question le modèle de société dominant, celui des inégalités, de la consommation sans frein et de la destruction systématique de notre planète dont il fut et reste l’un des plus ardents défenseurs.

Son ouvrage, synthèse d’un long travail de réflexion, non content de faire apparaître les maux dont souffrent nos sociétés, ouvre en grand des perspectives révolutionnaires mais pourtant concrètes et profondément optimistes pour le vivre ensemble dans des cités dont il va jusqu’à décrire les formes…